Nous possédons peu de renseignements. Nous trouvons son nom dans la nomenclature des Supérieures de la Maison de Saint-Maur : « 1696 - Sœur de Crozes». Elle est connue à cette date pour avoir signé les quittances de la rente annuelle servie aux…
« Après la mort de la Mère de Crozes, M. Tiberge avait installé à sa place sa propre soeur, Marie- Madeleine Tiberge, femme d’une haute capacité. A quelle époque la Mère Tiberge succéda-t-elle à la Mère de Crozes ? Nous pensons, sans cependant…
« La Mère Tiberge étant morte en 1716 la T.H.M. de la Marre (ou de Lamarre) lui succéda et gouverna l’Institut jusqu’en 1719. Quel était le pays de cette quatrième Supérieure Générale ? Quelles étaient ses origines ? Avait-elle eu le bonheur de…
Née le 27 novembre 1689 au château de Bosbières, en Auvergne, d’une famille de haute et ancienne noblesse, elle était une des 10 enfants de Gabriel de Bosredon et de Gilberte du Plantadis. Une de ses tantes fut religieuse et maîtresse générale des…
Louise-Jeanne Des Barres est née le 5 janvier 1726 à Coiffy-le Chätel (diocèse de Langres). A 18 ans, elle entra en qualité de pensionnaire au monastère de la Visitation de Langres. Animée d’un grand désir de se consacrer à Dieu, elle était près…
Marie de Lesniers est née en 1710, dans la région de Bordeaux. D’une famille d’ancienne noblesse, elle entra au Noviciat des Ecoles Charitables, à 17 ans. Elle fut admise à la profession le 5 juillet 1729. Envoyée d’abord non loin de Paris où une…
A celle qui devait succéder à la Mère de Lesniers, la Providence réservait une part bien douloureuse : les épreuves et le bouleversement de la Révolution. Née à Chirac (Lozère) le 23 mars 1728, elle entra au Noviciat en 1749 et fit profession le 12…
Après les 10 ans de bouleversement en France, Mère Aldebert (depuis sa retraite de Chirac), avait fait de son mieux pour regrouper les Sœurs qui avaient poursuivi leur mission là où elle étaient réfugiées. Son Assistante Sœur Saint Paul restée à…
« Les Sœurs anciennes chargées, suivant les Constitutions, de pourvoir à la nomination d’une Supérieure Générale, en remplacement de la vénérée Mère de Fumel, se réunirent au chef-lieu de l’Institut, le 2 juin 1817. Leurs suffrages se portèrent sur…
« Après la mort de la Mère Goulard, les vœux unanimes de l’Institut appelaient à la charge de Supérieure Générale, Mère Mir, Supérieure de la Maison de Toulouse… Soit par humilité, soit par attachement à la Maison qu’elle dirigeait, Mère Mir refusa…